C’était le 2eme anniversaire de la visite de M. Juan Guaidó à Paris le 24 janvier 2022 passé.
J’y ai pensé, et le lendemain, de me hâter à publier une entrée. Cela aurait été pertinent, mais malheureusement je n’ai pas eu le temps et je m’en excuse auprès de mes lecteurs, mais le sentiment de cette entrée n’est pas strictement lié à la date mais à l’analyse, à mes recherches que j’ai pu enfin reprendre et à l’évolution des évènements et de nos nouvelles attentes.
Aujourd’hui le Venezuela se ressemble plus à ce « ex Venezuela » dont je vous parle parfois. De plus cette semaine un autre évènement dramatique est survenu.
L’actualité est celle du décès d’un enfant parmi les 43 personnes attaquées par la garde côtière du pays voisin anglophone le Trinidad et Tobago, en attaque «préventif» d’un bateau armé sur un bateau d’envergure et de raison d’être clairement différente. C’est l’émigration, la raison connue évidement par les mêmes autorités qui assument l’attaque, et par la communauté internationale du phénomène démographique actuelle du Venezuela…
C’étaient en effet et encore une fois des personnes qui fuient de quelque chose… ou poursuivait un rêve…, est-ce <peut-être> le simple rêve d’une vie meilleure pour eux ?
Ce fait ‘divers’ n’est pas anodin et mériterai une réaction au plus haut niveau, si la Nation était sérieuse, et si la Nation est sérieuse, une conséquence directe dans le court terme et dans les relations diplomatiques différentes avenir entre ces deux pays. Son analyse mériterait une autre attention à part entière.
Penchons-nous, regardons de part et part sur les actions du statu quo pro « gouvernementales », pro « officiels » et celles aussi « officielles » comme « l’AN 2015 » et de l’institution qui représente ou a représenté M. Juan Guaido à la tête, cette année écoulé…
En début 2021 le quinquennat terminait et, aux yeux de faire valoir la constitution dite ‘en vigueur’, une latence continue dans les acteurs reconnus. D’une part ceux originaires de la « Constitution de 1999 » qui la savent violée, et de ceux qui en elle, trouveraient une justification ou une interprétation qui justifie leur existence dans la vie politique. La vérité ne serait pas là. Elle n’est pas dans cette constitution, ni la précédente mais plutôt dans le prisme de la pile de toutes nos constitutions et texte Loi Carta Magna, qui ont été en vigueur par le passé et qui ont cherché notre synthèse.
Aucun des acteurs de renom n’est proche à la vérité absolue (notre vérité vénézuélienne), du moins pour ses intentions ou ses déclarations. La vérité absolue retombe à notre origine comme Nation, à notre culture, à notre idiosyncrasie, à notre localité géographique, et j’en passe…
La coordination de réponse et surtout la démonstration de défense des intérêts vénézuéliens, pour la population vénézuélienne, reste pour moi légère, voir absente. Sur ce fait divers ou sur des faits aussi graves, autres. L’administrateur, le gouverneur ou celui qui exerce le monopole de la violence ou pas (ou celui qui a la capacité de répression et garant de l’ordre), se soucierait de poursuivre simplement aux commandes (ou pas aux commandes), par n’importe quel moyen ou sous un prétexte. Le pouvoir pour le pouvoir et non pas le Pouvoir pour Transformer semble être celui « en vigueur » et celui qui se profilerait même si alternation dans la persona du Pouvoir dans le cadre actuel.
En période de pandémie, de gestion de cette crise et d’apparition et distribution du vaccin, on a eu même le sentiment à un moment donné que partie de la population furent des cobayes au début de cette distribution.
Ici en Europe et dans l’Amérique du Nord, nous ne trouvions pas efficaces ces vaccins que le Venezuela utilisait par exemple, et au début la liste n’était pas la même pour les compagnies aériennes… Je concède que cette recherche aujourd’hui je ne l’ai pas actualisé pour savoir si la différence persiste.
Selon la provenance d’un vol, et bien évidement, chaque pays a le droit d’appliquer un protocole distinct. Cela n’est pas mis en cause, bien évidement ; mais une invitation je vous la fait à les regarder ces protocoles, et puisque je ne peux pas la compléter sans encore tarder cette entrée du Blog.
Sur la mémoire du discours du M. Juan Guaidó je me rappel de celle de l’espoir, de faire revivre, de faire briller ce Venezuela dans tous ces splendeurs. Hélas, ce n’est pas encore le début, et concrètement la transformation ne s’agira pas d’une simple évolution matérielle ; elle est et sera dans une première instance immatérielle. Cf. ma première proposition.
L’année qui se profile et l’année prochaine ne semble pas être une année où pourra dire que le Venezuela ou une société privée du Venezuela a eu la capacité de développer un vaccin ou un traitement à l’avant-garde contre ces défis. Ce n’est pas naturellement à notre porté, mais voilà la taille type d’ambition qui dois nous être formaté dans notre cerveau.
Encore une fois c’est l’occasion d’insister sur l’élan et sur le leadership que quelqu’un ou un groupe dois avoir pour nous convaincre et nous faire nous reconnaitre, pour que nous ex vénézuéliens voyons le but commun et l’intérêt de la cause qui nous est commune pour un pays qui a forgé le début de son propre destin, profitant de l’affaiblissement de la monarchie et amoureux, avec total mérite, de la Liberté. C’est bien au sein d’une société de Liberté pleine qu’on pourra faire briller notre pays.
« Sous tous les climats, et dans quelque situation que ce soit, la liberté produit toujours les mêmes effets et est toujours la source de la félicité et de la prospérité humaine »
Francisco de Miranda (1750-1816). Miranda à ses concitoyens. Discours que je me proposais de prononcer à la Convention nationale, le 29 mars dernier (le 29 mars 1793, le 9 Germinal An 1). BNF.
Honneur, Liberté, Justice, Education et Musique.
EUMV