L’ami éternel de la France, Sébastien François de Miranda se serait téléporté dans l’espace-temps 200 ans pour venir en France, depuis « La Carraca », avant mourir, pour discuter, pour échanger avec moi et avec les nôtres.
Il y a quelques années déjà, je l’avais découvert ici à Paris et par surprise il m’avait fait un clin d’œil ! (peut être le 30 avril 2009 ?)
Avant de descendre, il nous exprime, nous manifeste, enfin il nous déclare que nous ne sommes pas seuls, que nous ne le serons pas, qu’il y a et qu’il y aura une flamme perpétuelle de Liberté dans nos cœurs… Ou c’était une autre voix que je confondais ? Une voix provenant aussi du fond de la voûte céleste que j’entendais… Je ne sais point!

Georges Rouget, huile sur toile, 1835, Musée de l’Histoire de France (Versailles)
Quand il nous rend visite, il regarde les facilités et est stupéfait de la modernité, des avancés de la technique, l’homme et son progrès ; mais nous revenons à notre affaire et Il nous livre sa clairvoyance : « Vous n’étiez pas seul (à son époque) et vous ne le serez jamais » ; « Faites-le ! Avancez ! Il n’y a rien qui arrête la volonté des hommes qui croient à leurs projets » avait-il lâché.
C’était l’une de ses dernières visites, du moins l’une de plus récentes et avant de s’en aller il nous déclara qu’il aime le projet, que la proposition est audacieuse et qu’elle incorpore bien notre actualité. Il savait de l’évolution politique et organisationnelle des Etats-Nations et qu’il avait descendu aussi de temps en temps ce jour-là, un 20 février.
C’était une petite histoire que je voulais vous raconter en français…
Honneur, Liberté, Justice, Education et Musique.
EUMV